Mélange...
De joie intense à l'idée de dans deux semaines ne plus voir (en vrac et les plus importants) ma chère prof d'SVT, d'allemand, d'anglais, et d'espagnol ainsi que mon cher profs de physique "Velten, vous sortez!" Bref. Promis, au dernier cours je lui demande pourquoi il m'aime pô. J'ai quand même dans l'idée que ma chère sœur doit y être pour quelque chose. On se met pas à haïr quelqu'un qens raison comme ça. Surtout que je suis presque sûre de ne pas lui avoir montré ma chiantise extrême au début de l'année.
De joie intense à l'idée de pouvoir aller nager tous les jours si je veux. De ne plus avoir AUCUN devoir et AUCUNE leçon, et de pouvoir m'endormir à 1H du mat' (comment ça je le fait déjà?) et me réveiller quand je veuuuux.
('Tain j'étais contente ce matin de tilter qu'on était samedi.)
Et de désespération horrible à l'idée de ne rien foutre ces vacances. Parce que je me connais, je vais avoir une vie de no-life, et je vais pas voir grand-monde. Paske je sais que les rares personne qui voudront biende moi, elles vont être en vacances. On va arriver en deux mois, à ne pas arriver à être là tous en même temps. On est des pas-doués. Et la vie est vraiment trop'injuste.
Par conter faudrait que je pense à m'inscrire à ce foutu stage.
Paske sinon
1. J'aurais une semaine de plus à rien faire
2. J'ai envie d'y aller
3. Si j'y vais pas, je me fais assassiner
= ma vieille, t'as intérêt à te grouiller