Journée bof-bof...

Et les trois horoscopes matinaux me promettait monts et merveilles. j'em***de les horoscopes.
Déjà, les deux heures de maths, le matin, moi j'appelle ça de la torture
Ensuite, l'heure de physique où tu te rends compte que tu t'es effectivement planté  à ton contrôle, ça fait pas du bien. (paske évidemment, Cile qui a "tout planté" a eu 15)
Ensuite on apprend un quart d'heur avant la fin du cours que le prof d'espagnol est là. Contrairement à ce dont on était tous persuadés depuis 8H. On a un peu rien fait en espagnol, d'ailleurs. (Et j'ai eu le temps de m'apercevoir que j'avais oublié ma fiche de DM de maths dans ma pochette d'anglais à la maison.)

Entre midi et deux: Tarot. Vu que personne n'accepte de jouer au Poker. (Que ça fait 6 mois que j'y ai pas joué et que je vais me ramasser en règle.)
En Tarot, je me spécialise dans un type de jeu. Pas le jeu "presque misère d'atouts", cumulé à "presque misère de têtes" comme fait si bien Antoine. C'est assez beau, la fréquence avec laquelle il fait des jeux pourris. Non, je me spécialise dans le jeu"bizarre". le jeu qui pourrait être bon, mais que tu es dans l'incapacité totale de jouer comme tel. Genre: paf, ouverture à trèfle, obligé de mettre l'unique trèfle: la dame. Et évidemment, un crétin coupe à trèfle.
Je suis très forte à ce genre de jeu.

Et après, horreur suprême: l'allemand.
Deux heures.  Tout devant. Juste en face de la prof. Et même aucune possibilité de dessiner un tant soit peu discrètement.

Et pour finir le combo du mardi: Philo. (Soit dit en passant: je plussoie la prof pour sa veste d'aujourd'hui.)
Non pas que j'aime pas la philo, mais après l'allemand on rêve que de rentrer chez soi.
Déjà, je me prends ma première note merdique en philo. T_T. Pire que tout: j'ai une moins bonne note que Clément en Philo. Là, c'est la honte.
Et puis se faire avoir sur un contrôle de cours, c'est quand même agaçant.
Après la correction du contrôle, nous faisons cours, et nous parlons d'"êtres". Évidemment, certains entendent "hêtre", voir "naître", et il y a une vague digression. (De dix minutes).
Puis la phrase "Nous sommes un être qui échappe à son être".
Et par une brusque remontée Shirleyienne et Barbaresque, Cile et moi nous nous écroulons de rire sur la table, l'esprit traversé par la même image d'un petit bonhomme qui fuit en hurlant devant un grand arbre féroce.
(Image qui orne maintenant une table, et si elle y a pensé, le portable de Cile)

Comments

[Jasiek]

Seul truc drôle de ma journée le mec qui fuit l'arbre